CHOCOLATS ET PETITES CULOTTES
Attention ! N’allez pas attribuer cet étalage de lingerie fine suspendue au balcon du ministère de la justice à Mme Taubira. Il y a bien assez de cloportes qui daubent sur elle pour en rajouter, ne serait-ce que la surface d’un string minuscule. Non, il faut remonter au temps de l’ancienne locataire et chouchou de Sarcouillon-Bismuth, Dati Rachida. Déjà épinglée par son propre parti pour avoir largement participé à sa mise sur la paille avec ses notes faramineuses de téléphone aux petits copains et petites copines, c’est cette fois-ci la cour des comptes qui grimace au vu de ses dépenses indues sur le compte du contribuable en acquisition de vêtements de haute marque, frais de bouche, (elle l’a grande la poulette) et en frais de communication relatifs à sa propre image médiatique. Miroir, mon beau miroir ! Venant de la dame, voilà une histoire très banale en somme, une histoire bismuthienne pour tout dire.