CE QUE DURENT LES ROSES …
Quelques pelés et autant de tondus se sont réunis ce samedi au conseil national du parti socialiste pour commencer à débarrasser les gravats causés par la récente élection présidentielle. On y retrouvait curieusement quelques fantômes autour du premier secrétaire Cambadélis, pas plus effondré que ça, mauvais de chez mauvais qu’il aura été pour diriger ses troupes. Faut croire que pour lui, ce n’est qu’en bas qu’il y a le délice. (Voilà, je l’ai placée celle-là ! ) La décence aurait voulu qu’il se fasse oublier et qu’il aspire à d’autres horizons. Faut croire que la politique, ça s’accroche à ceux qui en ont toujours vécu comme la petite vérole sur le bas clergé. Mais le gugusse n’est pas le seul responsable de la flétrissure de la rose. loin de là. Il faut compter aussi avec le candidat élu, Hamon, qui d’entrée, n’a pas fait la maille, comme diraient les pêcheurs à la ligne, et surtout, Hollande, qui avait le ventre, mais n’avait pas les épaules.