QUAND Y EN A PLUS Y EN A ENCORE
Il en est qui après une saisie ont tôt fait de se retrouver en slip, mais chez les Balkany, les amis et protégés de Paul Bismuth, ça tintinnabule toujours autour du cou et des poignets. Après la propriété de Giverny, la villa aux Antilles, c’est maintenant la demeure marocaine qui est mise sous séquestre. On se croirait au jeu de Monopoly, où l’on achète des maisons après avoir acquis les rues. La différence, c’est que chez ces ripoux, la chance n’y est pour rien, pas plus évidemment que la sueur du front, et l’autre différence, c’est qu’avec eux, quand il y en a plus, il y en a encore. Du blanchiment, de la fraude, des dessous de table, du vol organisé pour tout dire, et pour en revenir au Monopoly, ils ne sont jamais passés par la case prison. Trouducutant, non ?